Église Saint-Pierre de Rimling

En pays découvert, le village de Rimling s'est développé au pied de la côte du Muschelkalk, à proxmité des sources de ruisselets qui se jettent dans la Bickenalbe. Le village se situe au croisement de plusieurs routes menant vers les localités voisines de Guiderkirch, Epping, Bettviller, Guising puis Rohrbach-lès-Bitche, Gros-Réderching ou encore Obergailbach.

Table des matières

I. Histoire
III. Mobilier IV. Ossuaire VI. Notes et références
       
II. Édifice
1. Chaire à prêcher
V. Presbytère
1. Notes
2. Autels
2. Références
1. Première église
3. Vierge de Pitié
2. Église du curé Mercenier
4. Orgue
VII. Annexes
3. Sacristie
5. Armoire eucharistique
6. Vitraux
1. Bibliographie
2. Liens internes

L'église paroissiale Saint-Pierre de Rimling se compose de parties datant des diférentes phases de restauration de l'édifice, depuis la construction en 1614 jusqu'à la dernière reconstruction suite aux destructions de la seconde guerre mondiale. L'entrée actuelle de l'église de Rimling date de la restauration de 1823, durant laquelle des niveaux supérieurs ont été ajoutés à la tour-clocher et le portail refait. Vue intérieure de l'église Saint-Pierre vers le chœur. Le choeur de l'église Saint-Pierre et le maître-autel de Johann Martersteck, datant de 1739.

I. Histoire

Du point de vue spirituel, le village de Rimling constitue tout d'abord une succursale de la paroisse voisine de Bettviller, située alors dans l'archidiaconé de Sarrebourg - comme toutes les paroisses de la partie orientale du diocèse de Metz - et l'archiprêtré de Hornbach, aujourd'hui en proche Allemagne - comme toutes les paroisses du Bitscherland hormis Rahling. La localité est érigée en paroisse indépendante de cet archiprêtré en 1702, puis de celui de Volmunster, créé lors de la réforme des circonscriptions ecclésiastiques entreprise en 1802 et calqué sur le canton.

II. Édifice

1. Première église

L'église paroissiale de Rimling, dédiée au Prince des Apôtres saint Pierre, est construite au début du XVIIe siècle, sous l'impulsion du curé de l'époque, l'abbé Jost Beyer. La construction de l'édifice - dont subsiste encore la base de la tour-clocher - se déroule entre le 16 février et le 24 août 1614. Elle est réalisée grâce à l'aide apportée par Johann et Jacob Zoller, Nicolas Zintz, Marx Frentzel, Nikolaus Rimlinger, Antonius Adam et Wolff Walther Müller, comme nous l'apprend la pierre qui est fixée au mur du clocher, à droite en entrant dans l'église. Il est peu probable que la terrible guerre de Trente Ans (1618-1648) et les hordes de mercenaires suédois qui sillonnaient nos contrées aient épargné beaucoup d'édifices catholiques. En effet, dès 1621, l'un des généraux de Frédéric V, nouveau roi de Bohême, le comte Ernst von Mansfeld (1580-1629) envahit l'Alsace et le pays de Bitche à la tête de sa redoutable armée de mercenaires. Mansfeld installe alors son quartier général dans la bonne ville de Haguenau. Il se livre avec ses troupes au pillage systématique des richesses de toute la contrée, sans se heurter pour autant à la moindre résistance. C'est ainsi qu'en 1622, les bandes du comte von Mansfeld s'attaquent à la proche abbaye cistercienne de Sturzelbronn

La nef de l'église Saint-Pierre, vers la tribune. Vue ici de l'extérieur de l'église, une armoire eucharistique - ou oculus - proviendrait de l'église antérieure et daterait du XVIe siècle. La tour-clocher de l'église Saint-Pierre de Rimling. Sous le clocher, une plaque nous rappelle les conditions de la construction de la première église en 1614, ainsi que les noms des constructeurs.

Nous n'avons pas d'indications concernant la nouvelle église de Rimling, inaugurée quatre années seulement avant le début du conflit qui va ensanglanter toute l'Europe et totalement modifier le paysage de notre région, supprimant définitivement de nombreuses localités et réduisant en cendres les autres. Les informations connues permettent de savoir que l'édifice est restauré en 1731, comme nous l'indique une inscription gravée sur la façade sud de la nef : Readificatum An/Dni 1731 (réédifiée en l'an du Seigneur 1731).

Le monument aux morts de la commune de Rimling se situe à droite de l'église paroissiale Saint-Pierre. Détail du portail de l'église Saint-Pierre. Vue intérieure de l'église de Rimling, vers la tribune. Une pierre encastrée dans la maçonnerie nous indique la date de 1828, date de la dernière restauration de l'église avant les destructions de la seconde guerre mondiale.

2. Église du curé Mercenier

Cependant, il s'avère très vite évident que la construction d'une nouvelle église devient bientôt nécessaire, car l'édifice existant ne suffit plus à contenir tous les paroissiens. Pour des raisons évidentes de côut, quelques années seulement après l'érection d'une nouvelle église, c'est plutôt le projet d'agrandissement qui est retenu par l'abbé Pierre Mercenier, curé de la paroisse de Rimling entre 1728 à 1774. Une ancienne tradition implique que le proche couvent bénédictin de Hornbach subviendrait à la construction de la nef du nouvel oratoire, tandis que le clocher et le chœur seraient à la charge des paroissiens et du curé. Le vieux clocher - qui avait néanmoins moins d'une dizaine d'années - pourra rester en place ; le curé Mercenier comprit alors que le coût de la construction du chœur lui incomberait personnellement, car il savait que la population villageoise, très pauvre, ne pourrait pas contribuer financièrement aux travaux.

Le majestueux maître-autel de l'église de Rimling représente le saint patron de la paroisse, saint Pierre. L'armoire eucharistique, vue de l'intérieur de l'église paroissiale. La tour-clocher de l'église Saint-Pierre est augmentée de niveaux supérieurs en 1823. Le monument aux morts communal se situe à proximité immédiate de l'église Saint-Pierre de Rimling.

Par souci d'économie, le curé eut à ce moment l'idée - ô combien périlleuse ! - d'éxécuter le projet, contrairement aux instructions épiscopales, avec un volume inférieur aux plans établis, afin que les moyens financiers mis à disposition par le couvent suffisent sans sa propre contribution financière. Il paraît fort étonnant que, des années durant, personne ne s'aperçut que l'église n'était pas conforme aux dimensions prescrites. Peut-être l'abbé Mercenier avait-il prévu de faire valoir l'astuce qu'il ne savait pas si l'Évêque avait utilisé les mesures allemandes ou françaises. Le subterfuge ne fut pas découvert avant que l'étroitesse croissante de l'église ne permit plus de différencier son agrandissement. Le chiffre de la population de la paroisse, dont faisaient également partie un moulin et deux fermes, avait tellement augmenté que Monseigneur Claude de Saint-Simon (1695-1760), Évêque de Metz entre 1733 et sa mort, en ordonna finalement l'agrandissement en 1741. Le curé Mercenier éprouve très vite des remords et désire réparer son erreur en remboursant les dommages causés, mais il ne s'était pas encore acquitté de sa promesse quand il décède en 1774.

Le couvent de Hornbach dépendant des autorités de Zweibrücken dans le Palatinat, celles-ci font alors prendre les dimensions de l'église de Rimling. Ils sont alors forcés de constater que l'édifice n'a pas été suffisamment agrandi et que les administrations princière et épiscopale ont été abusées. Ils décident donc de s'en prendre à l'héritage du curé Mercenier pour dédommager les victimes mais ce dernier avait rédigé dans son testament que son argent serait destiné à la crétion d'un hospice pour pauvres, ce qui interdisait tout autre usage de cet héritage.

La tour-clocher de l'église de Rimling. Devant l'église, un monument est érigé en l'honneur de tous les curés qui ont desservis la paroisse Saint-Pierre de Rimling. Vue intérieure de l'armoire eucharistique. Sculpté dans un bois blanc et recouverte d'une polychromie moderne due au peintre-restaurateur Jaeg, de Strasbourg, le groupe de la Vierge de Pitié date du milieu du XVe siècle et s'apparente aux productions alsaciennes de l'épque, notamment par l'abondance des larges plis cassés du manteau. Le corps rigide de Notre-Seigneur Jésus-Christ repose sur les genoux de la Très Sainte Vierge et la tête est seulement retenue par sa main droite.

De nouveaux plans d'agrandissement sont tout de même établis, s'inspirant de ceux de l'église du proche village de Medelsheim, mais ces projets ne sont pas retenus car une nouvelle église ne peut naturellement pas être construite tous les quarante ans dans un village. La décision d'agrandissement de l'église à cette époque est toujours vérifiable, puisque différents plans de l'église portent l'inscription suivante : « Plan von der Rimlinger Kirche nach dem Medelsheimer Plan ». Les différents agrandissements effectués dans l'église sont encore aisément repérables de nos jours, grâce aux différences d'épaisseur des murs. L'ancien édifice s'arrête en effet au niveau de la deuxième ou troisième fenêtre : c'est à cet endroit précis que de nombreux paroissiens ont été inhumés, dont le curé Pierre Mercenier.

L'église de Rimling est une nouvelle fois agrandie en 1823, des niveaux supérieurs étant ajoutés à la tour-clocher et le portail connaissant alors une réfection. Gravement endommagé pendant la seconde guerre mondiale - hormis le mobilier liturgique qui a été heureusement préservé -, l'édifice est restauré par la suite. Il s'agit d'une église de plan allongé à vaisseau unique et voûte en berceau. Elle se rattache au type des églises-granges, avec son chevet polygonal et sa tour-clocher hors-œuvre en façade. Construite en grès et moellon enduit, l'église est couverte d'un toit à longs pans d'ardoise, avec croupe et flèche polygonale.

Provenant très vraisemblablement de l'ancien ossuaire, une pierre sculptée est remployée dans la maçonnerie de la sacristie. Un groupe sculpté représentant la Sainte Famille est situé dans l'angle nord-ouest, au fond de l'église. Lors de la création du nouveau cimetière, quelques anciennes tombes ont été laissées autour de l'église et aménagées à gauche de l'entrée. La cuve de la chaire à prêcher, ornée de médaillons avec les bustes et les attributs des Saints Évangélistes, est rythmée par des pilastres à décor réticulé à fleurettes, qu'on retrouve sur les panneaux de la rampe.

3. Sacristie

Les paroissiens de Rimling demandent, en 1756, que la sacristie et le cimetière soient déplacés : ils sont en effet situés dans une zone très humide, exposée au Nord. Il s'en suit que les ornements sacerdotaux se détériorent en raison du froid et de l'humidité. Une demande est donc été faite pour déplacer la sacristie de l'autre côté de l'église, exposé sud-est. Madame Anne-Marie Schneitz cède ainsi une de ses parts du jardin, en échange d'une décharge d'une rente annuelle d'une livre d'huile.

La chaire à prêcher, datant des années 1735-1740, est réalisée par le sculpteur Johann Martersteck et s'apparente fortement à celle qui se trouvait dans l'église de la Très Sainte-Trinité de Loutzviller avant la seconde guerre mondiale. L'autel latéral gauche est dédié à la Très Sainte Vierge Marie. Depuis la seconde guerre mondiale, seul le tombeau subsiste, tandis que la statue trône sur une console. Dans la contretable du maître-autel, une peinture sur toile représente le repentir de saint Pierre, figuré agenouillé, les clefs dans la main gauche, devant le coq qui chanta trois fois, à chacun de ses reniements. L'autel latéral droit est dédié à saint Joseph. Depuis la seconde guerre mondiale, seul le tombeau subsiste, tandis que la statue trône sur une console.

Il est finalement décidé de déplacer la sacristie suite à la visite canonique effectuée par le prêtre du diocèse, commissaire en cette partie. Le nouvel emplacement sera donc plus aéré et bénéficiera d'un grand ensoleillement presque tout au long de la journée. En outre, il se trouve que les effets, ornements et meubles de l'église seraient en plus grande sécurité, puisque la nouvelle sacristie se rapproche davantage des maisons. Le jardin de Madame Schneitz conviendrait ainsi très bien. Mais un problème - et de taille ! - demeure tout de même, car le financement de cet agrandissement est particulièrement difficile au vu de l'extrême pauvreté des paroissiens. Les affaires paraissent s'arranger car la sacristie se situe du côté droit de l'église depuis 1756.

La statue de saint Étienne, représenté portant sa dalmatique de diacre et tenant la palme du martyre, se situe à gauche du maître-autel. Le maître-autel, attribué au même sculpteur que la chaire à prêcher, est constitué d'un tombeau droit, d'une exposition tournante galbée en plan sur ses trois faces au-dessus du tabernacle et d'un retable architecturé à peinture, daté 1739. Moins monumental que celui de Rahling, il est caractérisé par un abondant décor floral et végétal, qui occupe tous les espaces laissés libres. Sur la façade sud de la nef, une pierre gravée nous indique que l'église a été réédifiée en 1731 (photographie de la commune de Rimling). La statue du Prince des Apôtres saint Pierre, représenté avec clefs du Paradis, se situe à droite du maître-autel.

III. Mobilier

Au lendemain de la reconstruction - ou plutôt de la restauration - de l'église en 1731, l'ensemble du mobilier est renouvelé, comme dans de nombreuses églises de la région (Gros-Réderching et Rahling par exemple). 

1. Chaire à prêcher

La chaire à prêcher date des années 1735-1740 et est l'œuvre de Jean Martersteck. La cuve, ornée de médaillons avec les bustes et les attributs des Saints Évangélistes, est rythmée par des pilastres à décor réticulé à fleurettes, qu'on retrouve sur les panneaux de la rampe. La corniche de l'abat-voix, à forts décrochements, a heureusement conservé les plumets placés sur les consoles supportant l'ange de la Résurrection. Une chaire semblable, du même sculpteur, se trouvait dans l'église de Loutzviller avant la seconde guerre mondiale (1).

De part et d'autre du maître-autel, deux reliquaires présentent des restes mortels de sainte Philomène, martyre romaine des premiers siècles fort vénérée par le saint Curé d'Ars. Lors de la création du nouveau cimetière, quelques anciennes tombes ont été laissées autour de l'église et aménagées à gauche de l'entrée. Le tabernacle est surmonté d'une niche d'exposition, encadrée par quatre colonnes torsadées. De part et d'autre du maître-autel, deux reliquaires présentent des restes mortels de sainte Philomène, martyre romaine des premiers siècles fort vénérée par le saint Curé d'Ars.

2. Autels

Le maître-autel, attribué au même sculpteur que la chaire à prêcher, est constitué d'un tombeau droit, d'une exposition tournante galbée en plan sur ses trois faces au-dessus du tabernacle et d'un retable architecturé à peinture, daté 1739. Moins monumental que celui de Rahling, il est caractérisé par un abondant décor floral et végétal, qui occupe tous les espaces laissés libres. Des chutes de fleurs et de feuilles d'acanthe ourlent les courbes et les contrecourbes des ailerons et des pampres s'enroulent autour des colonnes torses du tabernacle tournant, orné sus ses côtés de chutes d'instruments liturgiques. Le fronton, aux rampants profondément incrustés, est amorti par une palmette largement épanouie. Dans la contretable, une peinture sur toile représente le repentir de saint Pierre, figuré agenouillé, les clefs dans la main gauche, devant le coq qui chanta trois fois, à chacun de ses reniements (1). 

Les autels latéraux sont traditionnels, dédiés à la Très Sainte Vierge à gauche et à saint Joseph à droite.

3. Vierge de Pitié

Sculpté dans un bois blanc et recouverte d'une polychromie moderne due au peintre-restaurateur Jaeg, de Strasbourg, le groupe de la Vierge de Pitié date du milieu du XVe siècle et s'apparente aux productions alsaciennes de l'épque, notamment par l'abondance des larges plis cassés du manteau. Le corps rigide de Notre-Seigneur Jésus-Christ repose sur les genoux de la Très Sainte Vierge et la tête est seulement retenue par sa main droite.

Les fonts baptismaux de la paroisse se situent au fond de l'église, à gauche en entrant. Le devant d'autel, occupant toute la surface du tombeau du maître-autel, représente la Sainte Cène. Le tabernacle du maître-autel représente le thème de la Sainte Eucharistie. Lors de la création du nouveau cimetière, quelques anciennes tombes ont été laissées autour de l'église et aménagées à gauche de l'entrée.

4. Orgue

Un orgue, œuvre du facteur Willy Meurer, est installé dans l'édifice en 1966. L'instrument possède deux claviers de cinquante-six notes et un pédalier de trente notes, ainsi que des transmissions électro-pneumatiques.

5. Armoire eucharistique

Une armoire eucharistique, datant du XVIe siècle, proviendrait de l'église antérieure.

6. Vitraux

Des verrières géométriques avec symboles sont installées dans l'édifice après la seconde guerre mondiale.

IV. Ossuaire

Alors que les visites canoniques qui se succèdent au XVIIIe siècle parlent d'une vingtaine d'ossuaires dans le Bitscherland, invitant les paroisses à les reconstruire ou à rétablir les toitures, il n'en subsiste que quatre aujourd'hui, les dernières décennies du XIXe siècle ayant vu leur destruction : celui de Rimling, comme à Siersthal, est situé en sous-sol, sous la sacristie (2).

V. Presbytère

Conservées au presbytère, les statues, en chêne décapé, de la Vierge à l'Enfant et de saint Antoine de Padoue, le plus populaire des saints franciscains après saint François d'Assise, datent des premières décennies du XVIIIe siècle et sont l'œuvre d'un même sculpteur, qui n'a pas encore pu être identifié. L'Enfant Jésus porté par les deux personnages est de même facture : un long corps, des membres dodus et une tête aux courts cheveux bouclés, toutefois moins réussie dans la statue de saint Antoine. La raideur des ces œuvres contraste avec l'élégance de la statue de l'Espérance, retrouvée enterrée dans le jardin du presbytère en 1984. Elle est l'une des trois statues de jardin sans doute commandées à son frère, le sculpteur Jean-Claude Mercenier, d'Arlon, par le curé de Rimling et citées dans son testament, rédigé peu de temps avant sa mort en 1774 : « J'abandonne à mon successeur et aux curés suivants les trois figures en pierre, la foi, l'espérance et la charité dans ledit jardin ».

VI. Notes et références

1. Notes

2. Références

        1. HIEGEL (Charles), JACOPS (Marie-France) avec la collaboration de HIEGEL (Henri), « Œuvres lorraines des Marsteteck, menuisiers-sculpteurs à Wœlfling-lès-Sarreguemines au XVIIIe siècle », Le Pays lorrain, 1983, num. 4, p. 193-219.
        2. BOUR (Dr R.-S.), « Die Beinhäuser Lothringens », Jahrbuch der Gesellschaft für lothringische Geschichte, 17e année, 2e partie, p. 79-80.

Centre de l'un des reliquaires. Devant l'église, un monument est érigé en l'honneur de tous les curés qui ont desservis la paroisse Saint-Pierre de Rimling. Lors de la création du nouveau cimetière, quelques anciennes tombes ont été laissées autour de l'église et aménagées à gauche de l'entrée. Lors de la création du nouveau cimetière, quelques anciennes tombes ont été laissées autour de l'église et aménagées à gauche de l'entrée.

VII. Annexes

1. Bibliographie
2. Liens internes


Églises catholiques du canton de Volmunster

Saint-Hubert de Breidenbach - Saint-Donat d'Epping - Saint-Maurice de Guiderkirch
Saint-Pierre de Hottviller - Saint-Laurent de Lengelsheim - Sainte-Trinité de Loutzviller - Saint-Maurice d'Obergailbach
Sainte-Croix d'Ormersviller - Saint-Pierre de Rimling - Saint-Vincent-de-Paul de Rolbing
Saint-Wendelin de Schweyen - Saint-Pierre de Volmunster - Saint-Benoît de Walschbronn



Œuvres de Johann Martersteck dans le Bitscherland

Chapelle Sainte-Vérène d'Enchenberg - Église Saint-Didier de Gros-Réderching - Église de la Sainte-Trinité de Loutzviller
 Chapelle Sainte-Marguerite d'Olferding - Église Saint-Christophe de Rahling - Église Saint-Pierre de Rimling
Église de l'Assomption de la Sainte Vierge de Roppeviller - Église Saint-Marc de Siersthal - Chapelle Saint-Vincent-de-Paul d'Urbach

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